Rapport d’Activités 2005
E B S asbl
ECOLES DE BROUSSE AU SENEGAL
RAPPORT D’ACTIVITES - ANNEE 2005
1. Préambule
Si nous considérons les buts que nous nous étions fixés depuis l’existence de notre association, basés sur une philosophie en quatre points qui sont, pour rappel, le partenariat véritable, la coordination avec les Autorités sénégalaises, le volontariat et la sensibilisation auprès des jeunes en Belgique, nous osons affirmer qu’au cours de cette année 2005, nous avons correctement maintenu le cap. Nous constatons en particulier que notre constant souci participatif vis-à-vis des personnes intéressées par nos actions a porté ses fruits, tant en Belgique qu’au Sénégal. Nous avons pu observer avec satisfaction d’une part les implications de plus en plus significatives de nos responsables africains, qui s’inscrivent naturellement dans une logique d’autodétermination et d’autre part en Belgique, l’importance réservée à notre Assemblée Générale et à nos commissions techniques qui s’est concrétisée par une connaissance nettement accrue de la problématique Nord-Sud auprès de nos membres actifs. Notons aussi lors de chaque réunion, l’excellente convivialité, gage de dynamisme et de motivation accrue.
2. Nos réalisations au Sénégal
Nous avons poursuivi notre programme d’implantation de salles de classe dans la Communauté Rurale de Fissel en faisant construire une classe complémentaire à Lambayène, une à Keur N’Diol Fall, ainsi qu’une classe maternelle à N’Doffane. Sur l’avis d l’Inspection Départementale de l’Enseignement, nous avons par ailleurs étendu nos actions vers la Communauté Rurale de Sessene, limitrophe de Fissel, dans le village de Diémane Diadiane (une classe primaire) et avons planifié dans cette zone quatre autres villages qui ne disposent à ce jour que d’abris provisoires dans l’attente de notre intervention.
Nous avons, à Bandia, (Communauté Rurale de N’Diass) poursuivi notre partenariat avec la Ville de Namur, par la construction de deux salles complémentaires. Dans la Communauté Rurale de Lou Séssene, à N’Diol Khokhane, nous avons aidé un étudiant belge, Lionel Larcin à réaliser son mémoire de fin d’études en lui confiant le soin d’analyser par le détail les raisons des problèmes rencontrés par les responsables de la surface maraîchère mise en fonction avec le soutien de notre association en 2000. Son rapport est disponible sur simple demande.
Nous avons poursuivi nos réflexions avec les membres du Conseil Rural de Fissel sur le projet d’implantation d’un centre d’apprentissage destiné en priorité aux élèves ayant terminé le cycle élémentaire et qui souhaitent s’orienter vers une profession à caractère manuel. Les formations qui ont été ciblées sont essentiellement les métiers du bâtiment (maçonnerie, menuiserie, plomberie, électricité,...), mais aussi agronomie, élevage, couture, coiffure, teinture de tissus... La mise en place récente au Sénégal d’un Ministère de la Formation Professionnelle est de bon augure pour la concrétisation de ce vaste projet qui s’inscrit pour EBS dans la continuité de son implication en matière d’éducation scolaire, base même de sa raison d’être et qui sera accessible aux apprenants, non seulement de la Communauté Rurale de Fissel, mais également de celle de Sessene, voisine.
3. Nos actions en Belgique
Les jeunes : fidèles au quatrième principe de notre philosophie générale, nous avons poursuivi nos actions de sensibilisation auprès des jeunes en mettant davantage encore l’accent sur les préparatifs, par le renforcement du fonctionnement de la commission technique de préparation aux séjours et accompagnement. Ont pu séjourner dans les villages soutenus par notre association, un groupe d’élèves et professeurs de l’Institut St. Jean Baptiste de Wavre à N’Gonème et un autre de l’Athénée Royal de Waterloo à Sassal, ainsi que, dans le cadre de leur stage de fin d’études, un groupe d’étudiants de la Haute Ecole St-Roch de Theux à N’Doffane et de la Haute Ecole Ste-Croix de Liège à M’Belonghout. Les Pionniers de Montignies -le-Tilleul ont tenu leur camp d’été à Keur-N’Diol-Fall et les Guides Horizon de Gembloux ont fait de même à Lambayène.
Les partenariats : Avec l’Administration Communale de Bièvre, nous avons participé à l’organisation de la Semaine du Sénégal qui a vu l’implication de toutes les associations de la Commune (Ecoles, Centre Culturel, Bibliothèque, Syndicat d’Initiative, Bièvre Commune d’Europe, Utan) et aidé à la mise en place des prémices d’un jumelage avec la Communauté Rurale de Fissel.
Avec la Table Ronde de Vielsalm se sont poursuivies les actions en faveur du village de Keur N’Diol Fall
Avec la Ville de Namur, poursuite également des actions en faveur de l’école élémentaire de Bandia et des réflexions relatives au fonctionnement de l’école maternelle.
Communication : Depuis l’existence de notre association, nous avons estimé que la communication vers le public était essentielle à la réalisation de nos objectifs mais qu’il ne fallait pas mettre le faire savoir avant le savoir faire. Nous n’avons dès lors jamais recherché sciemment les contacts avec les médias. Nous avons par contre constaté que ceux-ci avaient évoqué régulièrement nos initiatives au cours de cette année, nous ne pouvons nous en plaindre.
Estimant que les informations que nous destinons à nos membres et sympathisants devaient montrer notre volonté de recherche de qualité, notre journal d’information COUP de POUCE, édité chaque semestre, fut, comme les années précédentes, imprimé en quadrichromie sur papier glacé grâce au soutien de nos sponsors. Au cours de 2005, nous avons par ailleurs procédé à une refonte complète de notre site internet (www.ebs-asbl.org) en veillant à y présenter, en toute transparence, un maximum d’informations utiles tant pour nos membres que pour d’autres visiteurs.
Le fonctionnement interne : Dans le cadre de la nouvelle législation belge sur les ASBL, nous avons déposé en mars les nouveaux statuts de notre association et adapté son appelleation dénommée désormais « Association EBS asbl » en lieu et place de « Fondation EBS, asbl ». Nous avons renforcé le rôle des membres de l’Assemblée Générale, e.a. par une structuration accrue des commissions techniques et la tenue d’un agenda annuel prévoyant trois assemblées générales ordinaires obligatoires. Nous avons par ailleurs porté à six le nombre des administrateurs.
Notons également que depuis cette année 2005, nous disposons d’un bureau facilement accessible, avec toutefois prise de rendez-vous indispensable, équipé d’un ordinateur, d’un fax et d’une ligne téléphonique spécifique -32(0)81 40 00 02-
Convaincus de notre potentiel et animés de notre réelle volonté de développement, nous avons déposé en août une demande officielle d’agrément comme ONG.
Suarlée, le 30.06.2006 Michel GREGOIRE, président
Notre rapport d’activités des années 2002 - 2003 - 2004
Notre champ d’actions
Si notre action concerne essentiellement l’amélioration des conditions d’accès à la scolarité élémentaire, EBS est également ouverte au dialogue avec les populations pour aider, dans la mesure du possible, à résoudre leurs autres préoccupations, telle l’amélioration en soins de santé ou dans le domaine économique. Toutefois lors des réflexions et observations menées au cours de ces trois dernières années, ces domaines étant spécifiques et nécessitant un suivi sur place, nous avons jugé préférable de déléguer ce type d’initiatives à des organismes qui s’y sont spécialisés.
Nous nous intéressons en priorité à l’éducation scolaire de niveau primaire dans les villages les plus démunis et les plus éloignés des grands centres, mais au cours de l’année 2002, une réflexion approfondie a été menée avec les responsables de l’Inspection de M’Bour pour mettre en place des structures d’accueil destinées à la petite enfance (enseignement maternel), appelées « case communautaire ou case d’éveil de la petite enfance ». Un prototype de ce local, fruit de cette collaboration avec l’Inspection, a été construit en 2002 dans le village de N’Diol Khokhane (dépt. De Fatick). Il est de forme carrée, avec toiture pyramidale, inspiré de l’architecture Sérère. Fort de cette première expérience, il a été prévu, selon les souhaits de l’Inspection, d’en implanter dans chaque village où nous sommes représentés. Dans la CR de Fissel, nous avons obtenu la garantie que des animateurs(trices) avaient dès à présent été formés à cet effet, dont la formation et les prestations sont à charge de la collectivité.
Rappelons à ce sujet qu’EBS intervient dans les frais d’achat des matériaux nécessaires à la réalisation de chaque infrastructure, mais se refuse à rémunérer les habitants qui doivent s’organiser entre eux pour prêter gracieusement la main d’œuvre non spécialisée. Préalablement nous prenons toutes les dispositions nécessaires pour garantir l’utilisation effective des infrastructures réalisées et la bonne fin des chantiers en confiant la direction à un maçon de métier sénégalais, mais n’intervenons pas dans les frais de fonctionnement, ni dans la rémunération des instituteurs ou animateurs. En 2004, nous avons estimé qu’il y avait lieu également de nous préoccuper du devenir des élèves de dernière année primaire et avons entrepris une réflexion en profondeur avec les Autorités Communales de Fissel en vue de l’implantation d’un Centre Polyvalent d’Apprentissage destiné en priorité aux jeunes issus des écoles primaires de cette vaste commune (28 villages/ 30.000 habitants) qui ne sont pas admis à l’enseignement secondaire. Cette réalisation devrait se concrétiser à partir du début de l’année 2006.
Nos réalisations au Sénégal
En 2002, ont été construites 1 salle de classe à N’Gonème (CR de Fissel) 1 salle de classe à M’Bélonghout ( « « ) 1 salle de classe à Soukhème (CR de Sandiara) 1 case communautaire à N’Diol Khokhane (CR de Loul Sessène)
En 2003 : 1 salle de classe à N’Doffane (CR de Fissel) 1 salle à Lambayène ( « « ) et avons étendu nos actions vers deux autres villages, à savoir 1 salle de classe à Keur N’Diol Fall (CR de Fissel) 1 salle de classe à Sassal ( « « )
En 2004 : 1 salle de classe à Sassal (CR de Fissel) 1 salle de classe à M’Bélonghout (CR de Fissel) 1 salle de classe en cours à N’Gonème ( « « ) 1 salle de classe en cours à Lambayène ( « « ) 1 aire de jeux à Keur N’Diol ( « « ) 2 salles de classe à Bandia (CR de N’Diass)
Lors du premier trimestre 2002, nous avons confié à un ingénieur agronome de l’Ong belge I.S.F. (Ingénieurs sans frontières) une mission d’analyse et dynamisation du maraîchage collectif implanté à N’Diol Khokhane en 1999 ; il a séjourné, aux frais d’EBS près de trois mois sur place et nous a rentré un rapport circonstancié que nous pouvons communiquer sur demande.(voir page 3 du Coup de Pouce n° 7).
Nos actions en Belgique
1. Les jeunes : Fidèles à notre souci de sensibilisation auprès des jeunes, nous avons développé un partenariat avec différentes écoles du secondaire, à savoir l’institut St-Jean-Baptiste de Wavre, l’Institut Notre-Dame de Namur, le collège St-Guibert de Gembloux, l’Athénée Royal de Waterloo, l’Institut Ste-Anne de Gosselies. Nous avons également mené des actions comparables avec quelques mouvements de jeunesse, à savoir les Guides Horizon de Mont-St-Guibert, les Pionniers de Braine l’Alleud (Ophain Bois-Seigneur-Isaac), le Patro de Braine-le-Château, les Pionniers de Lillois
Signalons au passage qu’au cours de l’année 2003, nous avons constitué une commission technique dans le but d’aider à la préparation pratique et mentale des groupes scolaires qui souhaitent séjourner dans un village du Sénégal bénéficiaire de nos actions. En 2004, nous avons ouvert ces actions de sensibilisation auprès de Hautes Ecoles de formation de futur(e)s instituteurs(trices) et un premier groupes d’étudiants (Haute Ecoles St-Roch de Theux ont eu l’occasion de réaliser le stage de fin d’études dans trois villages de la CR de Fissel, impliquant à la fois l’Inspection (IDEN) et les instituteurs sénégalais.
2. Les récoltes de fonds en Belgique : Elles s’opèrent selon différents axes. Essentiellement, EBS bénéficie de la générosité de ses donateurs. Au fil des ans, la fondation a constitué un important fichier d’adresses, par relations professionnelles ou personnelles. Notre revue d’information, Coup de Pouce tient nos membres au courant de nos projets, de leur coût, de leur évolution et est l’occasion de rappeler que rien n’est possible sans finances.
Des contacts privilégiés sont établis avec des Service-Clubs et autres organisations similaires et nous participons à des foires ou brocantes où, tout en développant notre notoriété, nous proposons à la vente des articles sénégalais ramenés lors de nos séjours sur place. Nous étions e.a. présents à la nuit africaine au Bois des Rêves à Louvain-la-Neuve en juin 2002, 2003, 2004 et à la Brocante de Temploux en août 2002. Les actions menées dans les écoles complètent ces apports.
3. Mode de fonctionnement : Chaque numéro de notre journal Coup de Pouce (semestriel) rappelle la composition de nos différentes composantes.
4. Souper-Animation : Tous les deux ans est organisée une soirée d’information destinée à faciliter les contacts entre nos membres et sympathisants, qui est aussi l’occasion de notre assemblée générale ; nous veillons à lui donner un caractère convivial. L’édition 2002 s’était tenue le 16 novembre en présence de son Excellence, Monsieur Saliou CISSE, Ambassadeur du Sénégal en Belgique ; notre invité d’honneur était Michel-Marie SENE, député à l’Assemblée Nationale du Sénégal et membre de notre comité exécutif sénégalais. En 2004, elle s’est déroulée en octobre, toujours en présence de l’Ambassadeur du Sénégal et notre invité était Mr. Sagar DIOUF, maire de la CR de Fissel. Cette séance fut l’occasion pour quatre groupes de jeunes d’exprimer leurs témoignages sur les séjours qu’ils avaient vécu dans la brousse sénégalaise.
5. Partenariat avec les Administrations Communales Belges Répondant aux sollicitations exprimées, nous avons conclu un accord avec la Ville de Namur pour mener à bien, dans le respect de notre philosophie, un vaste chantier de remplacement des six salles de classe du village de Bandia. L’action est répartie en trois années et le premier tiers fut réalisé en 2004. L’implantation d’une case communautaire est également prévue. Un partenariat a également été mis sur rail en octobre 2004 avec la Commune de Bièvre qui devrait déboucher sur une double action, d’une part établir un jumelage durable dans une logique d’équilibre avec la Communauté Rurale de Fissel dans lequel EBS servirait de trait d’union, d’autre part, intéresser la commune belge à l’implantation du futur centre d’apprentissage (voir document en annexe)
Suarlée, le 25.08.2005
Juillet 2004 : Les scouts de Lillois à Keur N’Diol Fall
Ils sont partis ce 30 juin 2004 pour deux semaines, soit jusqu’ au 14 juillet.
Durant leur séjour, ils ont réaliser à Keur N’Diol, petit village de la Communauté Rurale de Fissel, une plaine de jeux du même genre que celle qui fut réalisée précédemment à N’Diol Khokhane par les Pionniers de Louvain-la-Neuve et un peu plus tard à Soukhème par ceux d’Ophain.
Comme lors de chaque séjour de ce type, le but premier etaient de vivre au contact des habitants, de découvrir l’authenticité des villages de brousse et d’organiser des activités récréatives avec les enfants du village. A leur retour, nous ne manquerons pas de vous livrer leurs impressions.
Partenariat avec la Commune de Bièvre
Succès pour la Semaine Sénégal (du 07 au 12.11.2005) à Bièvre au profit et avec le concours d’EBS.
Magnifique réussite pour cette première organisation qui a vu se mobiliser les différentes associations de cette belle commune de l’Ardenne Namuroise.
Tour à tour, élèves et professeurs des Ecoles Communales de l’entité, l’Utan, le Syndicat d’initiative, la Bibliothèque, Bièvre-Commune d’Europe et le Centre Culturel prirent en charge une part du programme.
Deux invités sénégalais étaient présents en Belgique pour la circonstance, Sagar Diouf, maire de Fissel et Ibraïma Touré, receveur régional de M’Bour. Seul regret, l’absence de quatre conseillers communaux de Fissel qui s’étaient vus refusés le visa d’entrée pour des raisons inexpliquées.
Lors de la soirée de clôture, Sagar Diouf a officiellement invité son homologue belge, David Clarinval, bourgmestre de Bièvre et ses conseillers à une semaine belge à Fissel, prévue en février 2007. Réponse du bourgmestre : oui, à la condition qu’EBS s’y associe. Rendez-vous est donc pris !
Institut Saint-Exupéry à Leernes
Ce groupe de jeunes fréquentant un IMP séjournera au Sénégal au printemps 2005. Il s’agit pour EBS d’une première par rapport aux groupes qui sont déjà partis en brousse, mais ce défi, car il s’agit bien d’un défi, nous intéresse parce que nous pensons que ces jeunes souffrant d’un léger handicap de comportement, méritent un "Coup de Pouce" que nous avons accepté de leur octroyer.
Ils seront six, encadrés par trois éducateurs à séjourner au Sénégal du 29 mars au 06 avril 2006. La préparation va bon train et ce vendredi 28 octobre l’équipe éducative a organisé un souper réunissant plus de 200 convives. Un beau succès assurément dont nous nous réjouissons. Plus d’infos ? : voir sur http://www.saintexupery.be
Assemblée Générale du 16.09.2005
Concours oenologique (table ronde de Vielsalm)
Le 15.10.2005 : Concours œnologique à Houffalize par LA TABLE RONDE DE VIELSALM
au profit de la construction de la deuxième salle de classe de Keur N’Diol Fall
Plus d’infos sur le site de la Table Ronde
Joli succès pour les organisateurs qui ont pu compter sur la participation de 17 équipes de 4 concurrents chacune. Dès à présent, les organisateurs nous ont confirmé que les bénéfices engrangés allaient permettre de mener à bien le deuxième chantier de Keur N’Diol Fall. L’inauguration officielle de cette seconde salle de classe devrait avoir lieu en février 2006... Bravo !
Partenariat avec la ville de Namur
Ce projet de partenariat entre EBS et la Ville de Namur était à l’étude depuis 2003. Il avait pour but le remplacement des salles de classe, particulièrement vétustes et même franchement dangereuses (photo de droite) du village de Bandia . Il a commencé à se concrétiser à partir de la rentrée scolaire 2004 par le remplacement de deux salles jumelées. L’inauguration officielle avait eu lieu en décembre en présence des échevins namurois, MM. Jean-Louis Close et Alain Detry (photo de gauche).
Ce village qui bénéficie depuis plusieurs années d’une aide de Namur dans le domaine de la santé et de l’accueil touristique compte une école primaire de 325 enfants avec six instituteurs. Les locaux vont être remplacés progressivement à raison de deux salles jumelées par an.
Depuis ce 18 octobre 2005, un nouveau chantier de deux nouvelles salles a débuté dans le respect de la philosophie d’EBS, les moyens financiers nécessaires à l’achat des matériaux étant mis à disposition par la Ville de Namur.
